Vendredi


"Auf deutsch er ist nicht so redelich"

Jules aprieta el cigarrillo entre sus dedos. Siempre lo hace. Deja la colilla, el pucho, aplastada. Al fumar, deja primero el humo en la boca por unos segundos y luego lo aspira rápidamente.

Nous nous sommes rentrés chez lui. Il aspira pour son évasion des lignes blancs toutes éthérées. Dans la chambre elle riait sans contrôle. Elle s'est jetée au lit et là, elle s'est plongée. Il l'a suivie jusqu'à la limite du lit.
On voyait toutes les couleurs tomber de la table.

On a fini. La neige qu'il a jetée à son visage l'a brûlée.
Elle, qu'avait descendu sans parapluie, n'hésita pas.
On est tombé vers le sol froid tandis que la pièce avait l'air frappé par nos coups. Personne savait rien. Ils se sont levés sur ses pieds mais le sol n'était plus là, ce n'était qu'un voyage.


After all, they're gonna get there. Oh darling, do you remember those days when we couldn't see it? We were so young to get it. Now he stays home, waiting for something else. If he would've got it he'd be there by now. Don't know what to see, don't know where to be. So many fish, noone gets here. How would it be... she's shaking her head. The smoke's smothering me now, but you don't know what would've killed us back then.

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por A.M. BRIGANTI

brigam@gmail.com